Propulsé à l’avant-scène internationale avec la parution de son quatrième album A Fable, paru sur le prestigieux label Verve,Tigran réussit à peindre des tableaux totalement uniques, parés des teintes de folk arménien et rehaussés par les fulgurances du jazz et la grâce du classique. Qu’importe les genres (jazz, classique, folklore etc.), quand il y a le goût, la finesse, le lyrisme, la retenue dans l'expression quand il faut, le déchaînement quand il faut... Cette musique touche, parle, émeut.
D’une maturité étonnante malgré ses 24 ans, ce jeune pianiste arménien d’exception a rapidement attiré l’attention grâce à son impressionnante virtuosité. Depuis, la carrière de celui qui est déjà passé dans les plus grandes salles de spectacles et festivals, suit une trajectoire fulgurante. Considéré comme l’un des artistes les plus originaux et prometteurs de la scène jazz actuelle, c’est en concert que Tigran donne la pleine mesure de son immense talent.
REVUE DE PRESSE :
« In-cro-yable ! Dorénavant Tigran, vous êtes mon professeur. »
Herbie Hancock
« Dans la foulée de la parution de son album A Fable, acclamé par la critique, le déjà légendaire pianiste arménien revient triomphant au FIJM. »
Stanley Péan, Voir, juin 2011
« À le voir s’exécuter ainsi, nez à nez avec l’instrument, on ne pouvait s’empêcher de penser à Keith Jarrett. Tigran Hamasyan atteindra des sommets. »
Antoine Léveillé, Voir, février 2011
« Pour une fable, c'en est une : la fabuleuse histoire d'un pianiste arménien de 23 ans parti pour la gloire, parce que son premier disque en solo est littéralement... fabuleux. » Télérama, février 2011
« … le concert qu’il a offert a été du genre astronomique. Techniquement très relevé. Musicalement bien équilibré. Et fascinant pour la dose d’énergie brute et pure générée. » Guillaume Bourgault-Côté, Le Devoir
« Tigran Hamasyan: une star est née. »
Alain Brunet, La Presse, février 2011
« Prédestiné au piano par la force d’une tradition, Tigran Hamasyan a commencé à chatouiller le clavier dès l’âge de dix ans et n’a pas tardé à entreprendre une exigeante formation classique, dont témoigne encore aujourd’hui son incomparable dextérité, digne d’un Art Tatum des temps modernes. »
Stanley Péan, Voir, juin 2011
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